La sobriété s’impose et le choix du support est devenu central.
Basculer une communication habituellement sur papier vers un tout digital est à évaluer au coup par coup et selon l’usage final, pour éviter tout transfert de pollution d’un support vers l’autre.
L’industrie du papier et les imprimeurs se sont entourés de normes et de bonnes pratiques. La fabrication de papier vierge en Europe provient principalement des chutes de sciage et de l’entretien forestier. Le désencrage des papiers graphiques et le transport dans la chaîne de production du papier recyclé pousse à une utilisation là aussi maîtrisée.
Certes le digital impacte naturellement la consommation électrique, la charge du trafic internet et la production de terminaux, mais il offre une réponse aux impératifs actuels, une accessibilité et une modernité aux supports de communication.
Digital ou papier ?
Les deux mon capitaine
Chez Point Cédille, les ressources mobilisées pour le fonctionnement d’un site internet font parties intégrante de la réflexion.
Le code de nos pages web est léger, les images compressées et les CMS déployés, aux normes de sécurité du moment.
Un message à faire passer par mail à beaucoup de personnes ? Nous déployons une page web pour cela, pas une grosse pièce jointe qui va peser encore plus sur les serveurs.
Accompagnés par des papetiers, nous préconisons toujours le papier et son grammage qui nous semblent les plus opportuns avec l’objectif de communication. Le format d’un journal ou d’une plaquette sera par exemple amalgamé et rationalisé. Nous privilégierons toujours des papiers labellisés ou recyclés.
Le bon encrage est la clé pour une belle impression et nous permet de maîtriser l’impact environnemental en fin de chaîne.
Imprimer aujourd’hui ?
Oui, mais de façon responsable
Tout digitaliser n’aurait pas de sens.
Certains supports imprimés restent légitimes. Journal culturel, affichage interne, édition…
Le papier fait appel au sens du toucher, apportant une dimension sous-estimée. Du papier recyclé au rendu très fibré au papier de cellulose extra-blanc produit en France, les possibilités sont multiples sans sacrifier les engagements RSE de nos clients et les nôtres.
La durée de vie importante du papier permet à plusieurs lecteurs d’en profiter. Un journal par exemple a jusqu’à 5 lecteurs, il peut être imprimé de façon responsable et valorisé la démarche du client. Sans compter qu’il est recyclable et donc réutilisable jusqu’à 7 fois.
- Optimiser le format et les choix graphiques
- Bien choisir les acteurs de la chaîne graphique comme le papier, l’encre
- Évaluer et valoriser la démarche
2 couleurs, c'est joli aussi
Choisir des papiers labelisés
Un encrage maitrisé, c'est économique
Des rencontres ?
Remettre l’humain au cœur de nos sujets
L’impression d’une plaquette ou d’une campagne d’affichage n’est peut-être pas une finalité.
Nous aimons vous accompagner vers la création d’évènements, de recentrer l’action communicante sur l’échange humain. Soirée, rencontre, lancement… dans la vrai vie c’est encore mieux (lorsque la situation sanitaire le permet).
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